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La CCSG

La CCSG: communauté de communes du Saint-Gaudinois

Histoire de la CCSG

Suite à la mise en place du Syndicat Intercommunal en 1995, la communauté de communes a vu le jour le 01 janvier 2000, elle regroupe 21 communes : Aspret-Sarrat – Estancarbon – Labarthe-Inard – Labarthe-Rivière – Lalouret-Laffiteau – Landorthe – Larcan – Lespiteau – Liéoux – Lodes – Miramont-de-Comminges – Pointis-Inard – Régades – Rieucazé – Saint-Gaudens – Saint-Ignan – Saint-Marcet – Saux-Pomarède – Savarthès – Valentine – Villeneuve de Rivière.

L’expression intercommunalité désigne les différentes formes de coopération existant entre les communes. Le regroupement de communes au sein d’établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) peut répondre à deux objectifs très différents : la gestion commune de certains services publics locaux (ramassage des ordures ménagères, transports urbains,…) ou la réalisation d’équipements locaux, de manière à mieux répartir les coûts et à profiter d’économies d’échelle. Dans ce cas, les communes recherchent une forme de coopération intercommunale relativement souple ou « associative » : la conduite de projet de développement local.

Les Compétences

Obligatoires :

  • Les zones d’activités communautaires
  • L’animation économique du terroir communautaire
  • Les technologies de l’information et de la communication
  • Le Tourisme
  • L’aménagement de l’Espace

 Optionnelles :

  • Le transport de personnes (Gestion et développement d’un service de personnes (navette des villes et des champs), d’un service de transport à la demande et du « Movibus ».
  • La politique de l’habitat (Elaboration d’un programme local de l’Habitat, études diverses,…)
  • Action Sociale (le CIAS et le centre social Azimut)
  • Action culturelle et sportive
  • Enfance jeunesse et petite enfance
  • Accueil des gens du voyage.

Les transferts de compétences

Le transfert de compétences est la raison d’être des intercommunalités, puisque leur vocation est de gérer des compétences que les communes ne peuvent assumer seules, ou de manière non optimale. La quantité et l’importance des compétences transférées à la structure intercommunale est un bon indicateur du degré de coopération d’une telle structure. Plus elle gère des compétences importantes, plus elle peut être qualifiée de fédérale.